30 Juin 2010 - 2 Septembre 2010

Istanbul -train- Thessalonique -stop- Igoumenitsa -ferry- Venise -stop- Aire d'autoroute -stop- Montpellier

En stop Arrivée -après 15H de train de nuit et matinée-, à Thessalonique d'où nous re-embarquons nos petites maisons sur nos dos.

Pouces levés, nous sommes embarquées, entre autres, par un livreurs de fruits et légumes, puis par un poid lourd à l'interieur particulierement kitsch, et au conducteur tatoué d'une panthère sur l'épaule.

So cliché.

Arrivées à Igoumenitsa au terme de 5h de trajet, rompues.

Nuit difficile Nous retirons nos billets de ferry pour le lendemain matin (depart 9AM), et nous nous préparons à passer la nuit dans le terminal des départs de la gare maritime, sur un banc... La classe. Très dur le banc, très dure la nuit, très dur le réveil.

Embarcation dans le ferry un peu en retard : nous nous trouvons un petit bout de moquette isolée et installons notre "campement" pour les 24H de traversée.

Douche-Sieste-Manger-Sieste-Manger, hum.

On accuse le coup.

Arrivee a Venise Le lendemain a 8AM, le ferry fait son entrée dans Venise. Definitivement quelque chose que je vous conseille de faire, un jour... Voir ce grand batiment au milieu du grand canal de Venise, à quelques dizaines mètres du palais des Doges, c'est presques effrayant.

10AM : plat de spaghettis carbonara. La matinée et le début de l'après-midi se passe en visite de Venise. Nous nous perdons de rues en rues, de ponts en ponts, de magasins en magasins, et nous atterrissons chez un glacier, pour une glace a l'italienne avant de reprendre la route pour Montpellier.

Stop depuis Venise, une voiture, une deuxième, de celle-ci en marche nous arrêtons un poid lourd avec qui nous ferons le reste de la route pour Montpellier.

Nous passons la nuit sur une aire d'autoroute, partageons le diner et la vie nomade de ces routiers pour quelques heures et nous déployons la tante sur la remorque du camion pour une courte nuit.

5AM : reprenons le trajet retour. Arrivée a Montpellier en milieu de matinée, comme des pauvresses, sales, et epuisées. Mais mes amis, quel voyage !

europe

Trajet retour